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Utopie d'un rêve sans merci.
15 avril 2005

Brou à Ah.

burk

Dans cette histoire, on commence à tout puis, la fin rime avec seul.

Comme si, le violon pleurait à nouveau, comme si on dansait la vie sur un vulgaire tempo.

Laissons nous fuir encore, que l’esprit puisse enfin voguer.

Qu’on puisse enfin vivre.

Moi je voudrais, encore un peu garder.

Ennui de solitude.

Envie de monter.

Mais ce est utopie, n’est ce pas ?

Tu me manques-tu.

Bordel de pensées.

Aucune borne de limite.

Pour qu’enfin la main se torde.

Pour qu’enfin le cœur danse.

Pour qu’enfin la bouche vomisse.

Pour qu’enfin, je puisse dormir.

Pas de gravité a trouver.

Sœur.

Rien.

De toute façon, tu n’iras nulle part.

Regarde, jalousie comme une ronce dans la gorge.

Qui pique, qui pique jusqu'à la mort.

Jusqu'à la mort.

Tu n’aurais pas dû

M’abandonner sur le bord de la route.

Même si, j’ai tout fais pour.

Tu n’aurais pas du.

Unutma,

De crever ce soir.

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