Le passage annuel...Pero peropersonne ne lit
Le passage annuel...
Pero pero
personne ne lit ici
meme plus moi
Nous/je n'avons fait que FUIR
ET NOUS COGNER DANS LES ANGLES.
A l'année prochaine.
Le passage annuel...
Pero pero
personne ne lit ici
meme plus moi
Nous/je n'avons fait que FUIR
ET NOUS COGNER DANS LES ANGLES.
A l'année prochaine.
Pero Pero, qui lit encore ici?
J'oblitere le tout.
Aucun.
Rien.
Je.
De toutes les barrieres.
C'est elle qui.
Elle qui pleure encore.
De s'être trop éventrée.
Elle qui regarde la pluie.
Frôler,
Penser,
Aimer.
Tu.
Tu pense encore à celle qui.
Non ?
Cicatrisée,
Reviens encore.
Regarde.
Jour ?
Non.
Juste un peu.
Ecoute.
Un caillou dans un verre d'eau.
Il se noie sans comprendre.
Mais qui?
Qui le renverse.
Vois tu,
Quand le verre d'eau s'envole à des kilometres.
Le caillou s'éventre.
Boule de poils.
Hurle.
Qui a dit,
Que nous devions nous aimer?
Tu aurais dû m'appartenir.
Tu aurais dû ne jamais être.
Hurle.
Non.
Je refuse.
Je te refuse.
Sors.
Va-t'en.
Vide l'eau dans ta poubelle.
Que je ne sois plus qu'un souvenir.
Que je ne sois plus rien.
Vide ton eau.
Crache ta boule de poils.
Je n'existe plus.
Pouf, disparue.
Retour.
Quelques jours acharnés,
Occupé à.
A visiter.
A essayer.
A te penser.
Je t'ai mille fois changée,
Mille fois goutée,
Mangée.
Je t'ai de quelques saveurs
Oubliée.
Non.
Cicatrisée.
Hurle, hirloe.
Hurle.
Connaissez vous les cailloux ?
Ceux qui se noient dans des verres d'eau.
Ces cailloux là, s'en vont trop souvent.
Pour 4 jours.
Ou 4 mois.
Eternelle recherche.
De.
Qui saura tant parfaire.
Le gout et l'idée.
Je voudrais tant mettre une plante carnivore dans ton état végétal.
J'ai rêvé d'elles.
J'ai rêvé de toi.
J'en ai meme ecris ton nom.
J'aime te hurler,
J'aime te penser.
Te vomir,
Te huer.
Je t'aime.
Hurlons Hirloe.
Because mother says, I just was a great mistake.
Dans cette histoire, on commence à tout puis, la fin rime avec seul.
Comme si, le violon pleurait à nouveau, comme si on dansait la vie sur un vulgaire tempo.
Laissons nous fuir encore, que l’esprit puisse enfin voguer.
Qu’on puisse enfin vivre.
Moi je voudrais, encore un peu garder.
Ennui de solitude.
Envie de monter.
Mais ce est utopie, n’est ce pas ?
Tu me manques-tu.
Bordel de pensées.
Aucune borne de limite.
Pour qu’enfin la main se torde.
Pour qu’enfin le cœur danse.
Pour qu’enfin la bouche vomisse.
Pour qu’enfin, je puisse dormir.
Pas de gravité a trouver.
Sœur.
Rien.
De toute façon, tu n’iras nulle part.
Regarde, jalousie comme une ronce dans la gorge.
Qui pique, qui pique jusqu'à la mort.
Jusqu'à la mort.
Tu n’aurais pas dû
M’abandonner sur le bord de la route.
Même si, j’ai tout fais pour.
Tu n’aurais pas du.
Unutma,
De crever ce soir.
Le commencement part de toutes mes perditions.
J’ai des envies de vols, des envies de rêves, des envies de tout mais.
Mais voila, pas de mai, pas de mais.
Cette fois d’une seule traite je tire tout ici et je fais mes valises.
Refuse de m’apitoyer.
J’ai plus 10 ans.
Ton beau cœur.
Tombent au cœur.
Tombeau [du] cœur.
Un seul souffle,
Et je repars.
Tout dedans, je préfère courir
Que crever.
Surtout ici, il n’y aurait aucun mérite.
Alors je l’endormirai
D’un rêve sans merci.
J’ai envie de sortir de cette ville.
Rose.
Balancer toutes mes inepties par terre.
Marcher,
Cracher sur le dessus.
Pour que leur nausée abondante
Finissent par se faire oublier.
« Guerre Sainte à Jérusalem.
L’Eglise baise les enfants de Dieu.
God blesse, blesse, america.
Inch’allah. Inch’allah la la la. »
La fin de nos siècles n’existe pas.
Pas encore.
De toute façon, quand le soleil sera mort
On recréera tout en dessous.
Je crois.
J’ai des envies de courir.
De mettre des E à la fin de chaque phrase
De mettre des Eux au bout de n’importe quel mensonge.
Je n’y suis plus.
Je suis floue.
On n’est hanté que par soi meme.
Le reste n’est que prétexte.
Je refuse de crier encore.
A qui devrais je plaire ?
En quel nom ?
De quel droit ?
La question demeure interrogative.
« Les aménagements touristiques servent à accueillir des touristes ».
Sans blague.
Je suis montée en Bas.
Et descendue du Haut.
Non, je remonte maintenant.
Oui.
Non.
Oui.
Oui.
Merde.
J’ai rencontré celui qui,
Par définition,
S’appelle Idole.
J’ai croisé son regard.
Je lui ai souri.
J’aime.
Je tourne la blanche.
Page.
On repars.
Rechausse tes nike.
Serre bien, hein.
Des fois que.
Des fois que.
Je n’ai plus de rimant à faux.
J’ai pas envie de m’excuser.
Pourtant il le faut.
Encore Exorciser.
A D.S
A M.
A U.
A H. (et H).
A nous.
A elles.
A ceux.
Pardon.
Silence sur terrain plat.